A l’issue des résultats d’un diagnostic participatif des groupes cibles / parties prenantes, la situation des conditions de redevabilité sociale, l’état des lieux de la gouvernance et la gestion des ressources naturelles Tapia, au niveau des 5 Communes d’intervention du projet ont été établis. Une série d’ateliers ont été organisés pour restituer et valider ces résultats ainsi que pour faciliter l’appropriation par les acteurs d’une part, et à appuyer l’adoption d’une vision de changement partagée et consensuelle sur 3 ans.
Le projet SATA financé par l’Union Européenne, est un Projet de renforcement des Organisations de la Société Civile gestionnaires de la Forêt TAPIA à exercer leurs fonctions de force de proposition, d’interpellation, de contre-pouvoir et de plaidoyer, dans les Districts d’Arivonimamo et de Miarinarivo, Région Itasy.
Les cibles de l’action sont les Unions de communautés de base gestionnaires de ressources naturelles réunissant 19 VOI à Arivonimamo II, 4 VOI à Morafeno, 8 VOI à Soamahamanina, 14 VOI à Miarinarivo II et 11 VOI à Antoby Est, les plateformes régionales de concertation), les Communes Rurales d’Arivonimamo II, Morafeno, Soamahamanina, Miarinarivo II et Antoby Est. Le projet a commencé en février 2014 pour une durée de 36 mois.
A l’issue des résultats d’un diagnostic participatif des groupes cibles / parties prenantes, la situation des conditions de redevabilité sociale, l’état des lieux de la gouvernance et la gestion des ressources naturelles Tapia, au niveau des 5 Communes d’intervention du projet ont été établis. Une série d’ateliers ont été organisés pour restituer et valider ces résultats ainsi que pour faciliter l’appropriation par les acteurs d’une part, et à appuyer l’adoption d’une vision de changement partagée et consensuelle sur 3 ans.
Les réflexions des acteurs lors du moment fort d’élaboration du plan d’action de ce projet ont porté sur : le renforcement de la structuration des communautés de base à différents niveaux en vue de la synergie des actions pour la gestion durable des ressources naturelles. Il est question ainsi de la création d’une « Commision Mixte », un groupe pionnier qui va assurer l’animation des réflexions multi acteurs et le développement de stratégie, l’appui et la coordination, pour avoir plus d’impact dans les actions entreprises. Les acteurs ont souligné l’utilité d’adapter les lois aux réalités locales et le suivi de l’effectivité de leur application. Il en est de même pour le Dina ou Convention collective.